Furinkazan,  Textes

Ingérences

Le concept de non ingérence dans un pays tiers disparaît devant le meurtre de ses enfants, le viol de sa femme et l’humiliation par la torture, car les souffrances engendrées sont les mêmes pour chaque homme, quelle que soit sa couleur, sa culture, sa religion ou son âge.
Certains actes ne peuvent donc être tolérés, malgré tous les discours de respect des civilisations différentes, les lois internationales de non interventionnisme et les intérêts économiques et politiques : l’unique sentiment d’intégrité envers soi-même et la reconnaissance de sa personne en tant que être humain nous permettent de ressentir également ces douleurs fondamentales et universelles et justifient l’action.

Furinkazan

Octobre 2011